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LMM MSM
2001-2050
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LMM (‹‹Liverpool Malaria Model››)

Afin d'évaluer les cas de malaria en Afrique de l'Ouest on applique un modèle existant de l'Université de Liverpool. Appelé ‹‹Liverpool Malaria Model›› (LMM) il simule la transmission de la malaria avec une résolution temporelle d'un jour utilisant la température moyenne de la journée et les précipitations sur une durée de 10 jours (Hoshen et Morse 2004).

Fig. 1: Illustration des différents éléments du ‹‹Liverpool Malaria Model›› (LMM).

LMM sensibilité

Divers expériences de sensibilité révèlent que le LMM est presque totalement sensible aux configurations de certains paramètres du modèle. La proportion de la population porteuse du parasite de la malaria dépend fortement du schéma appliqué de survie du moustique. De plus la transmission de la malaria comme lors de la simulation du LMM dépend fortement du taux de récupération (r=0,0284) d'humains. De plus, dans les régions où la température n'est pas un facteur, la transmission simulée de la malaria du moustique à l'homme est généralement déterminée par le modèle du multiplicateur des précipitations qui associe les précipitations et l'oviposition des moustiques femelles, et à la fin détermine la taille de la population des moustiques. À haute altitude la limite de la température sporogonique, c'est à dire, la température minimum favorable au développement du parasite de la malaria dans le moustique a une grande importance. Contrairement à la version du modèle décrite par Hoshen et Morse (2004) le LMM dépend du paramètre correspondant aux différents systèmes de survie du moustique et à la limite de température sporogonique de 16°C.